Vendredi 11 novembre

Ouverture des portes 19h. Début du spectacle 20h00

Infos / résa au 0693633939

Entrée 8€ en Prévente Adhérents sur Internet (10€ non adhérents) / 12€ sur place (jauge limitée : réservation conseillée)

Buvette et restauration sur place

Achetez vos billets en ligne ! : https://cutt.ly/UNT51wy

Ce vendredi 11 novembre le Bisik reçoit OHM, le projet électro-carnatique de Loya et Balakumar Paramalingamen ouverture de soirée, et My Josephine, un groupe entraîné par Marie Nosmas alias Bette Betty qui hybride avec originalité une voix jazz et blues avec des rythmiques créoles et hip hop !

Aux contours intimistes tout autant que rock’n’roll, les compositions de My Josephince mêlent les langues française, anglaise et créole… Cette nouvelle formation en trio est surprenante et innovante. Avec Bett Bettyqui joue de la contrebasse, chante, compose et retrouve ses racines réunionnaises, Duff alias Frédéric Esclapez qui joue du finger drum et Louis Huck à la guitare c’est une soirée pleine de surprises qui se dessine.

« Un jour les racines refont surface. Un jour elles sont là, incontournables. Alors j’ai fait le voyage sur mon île, l’île de La Réunion, et j’ai commencé à tisser des liens, à dérouler le fil de mon histoire créole.

MY JOSÉPHINE c’est la magie de voir ma langue natale en harmonie avec mon créole de sang et mon anglais de cœur... chantant mes blues et mes joies avec mes tripes.

Je suis hybride, je suis multiple, et MY JOSÉPHINE est mon terrain de jeu. »

OHM, dont les sonorités s’expriment dans une frénésie de vibrations, ouvrira la soirée. En mêlant les musiques carnatique et tribale de l’Inde du sud avec les machines électroniques, les deux artistes, Loya et Balakumar, nous proposent un voyage autour du son « Ohm ». Ils souhaitent ainsi rendre cette musique indienne traditionnelle plus accessible et contemporaine.

« Ohm » c’est le son de l’univers, dans lequel toutes les vibrations se retrouvent. Les artistes Loya et Balakumar, qui ont tous deux des origines tamoules, se sont rencontrés lors du tournage du clip « Malbar dance » de Loya en 2016. Après cette expérience, ils ont eu envie de créer un concert entier mélangeant la tradition indienne qui a été créée il y a 5000 ans à la modernité de la musique électronique.